Nerfs – Le désastre des Darters !
de lecture - mots
Plus tôt cette année, j’ai écrit au sujet du « côté mental du jeu » (voir le blogue publié le 17 mai 2018). Eh bien, cela va tout à fait dans le même sens. Les nerfs sont certainement le désastre des chasseurs !
Pourquoi tout le monde peut-il lancer des fléchettes droites après quelques « aides cool » ou même à la maison dans le garage contre votre compagnon? Frapper gros et des scores cohérents à la maison, mais pas au pub local ou au club RSA? Bien qu’il y ait de nombreuses vraies réponses à cette question, une grande réponse est… les nerfs.
Tout le monde est différent, donc chacun réagit différemment à l’endroit où il est ou à qui il joue. Mais peu importe si vous êtes un joueur novice qui lance juste quelques-uns à la maison ou un joueur de fléchettes professionnel sur le circuit PDC. Les nerfs vont frapper tout le monde !
Oui, même Phil Taylor l’a fait et Michael van Gerwin souffre parfois de nerfs. Ils savent juste comment le cacher. Voici quelques conseils pour aider à gérer les nerfs. N’oubliez pas que vous ne serez jamais 100% libre de nerfs, ils nous aident à nous inventer ce que nous sommes et qui nous sommes. Mais vous pouvez apprendre à les contrôler ou au moins à y faire face quand ils arrivent :
Objectif : On peut dire la même chose pour beaucoup de sports, mais ici, on parle de « fléchettes ». J’ai discuté avec un célèbre capitaine All Black il y a quelques années (Richie McCaw).
Il a dit qu’ils « se concentrent sur le présent ». Si vous avez fait une erreur, vous ne pouvez pas la changer maintenant, il est trop tard. Il a aussi dit qu’ils ne se concentrent pas sur l’avenir ou les résultats. Allez-vous gagner le match, gagner un tournoi, etc. Concentrez-vous sur le présent. La prochaine fléchette est la seule qui compte. Vous voyez que les pros ne regardent pas ce que l’opposition fait quand ils lancent. Ils se concentrent sur leur prochain lancer seulement comme c’est tout ce qu’ils peuvent contrôler. Aussi à ce niveau, ils savent s’il lance un 140 ou 180, alors je peux.
Pratique : Il est clair que la pratique est importante, pour les nerfs aussi. Pendant que vous pratiquez, vous vous améliorez. À mesure que votre jeu s’améliore, votre confiance aussi. Une confiance plus élevée = moins de nerfs. La confiance devrait friser l’arrogance, mais pas tout à fait. Avez-vous déjà vu ou entendu un professionnel dans un sport qui n’est pas sûr de lui?
Sortir de la zone de confort : Ne jouez pas à la maison en s’entraînant ou en jouant les mêmes copains semaine après semaine, puis attendez-vous à aller dans un tournoi et jouer bien ou même gagner. Ça n’arrivera pas ! Si votre jeu est si bon, participez à des tournois, changez d’environnement, allez dans différents pubs pour jouer. Il vous permettra de vous habituer à jouer à des personnes différentes et améliorer dans la diminution de vos nerfs.
Bonne chance et des flèches droites tout le monde.